Le XI ultime de la Ligue des Champions

Pour célébrer le retour de la Ligue des champions en janvier, l'équipe de SUN s'est donné un objectif : réaliser le XI ultime de la Ligue des champions, à partir de 1992. 

Pour cela, nous avons opté pour un schéma classique en 4-3-3, la formation la plus populaire et la plus performante en Ligue des champions. Toutes les statistiques proviennent du site Web de l'UEFA et de Transfermarkt.

Crédit photo : Izuddin Helmi Adnan/Unsplash

On commence avec l'un des plus grands gardiens de tous les temps, une référence à son poste, qui n'a jamais failli. Si ses parades réflexes et sa longévité sont pratiquement inégalées, l'Italien sait être déterminant dans les grands moments, en témoigne sa finale de Coupe du monde 2006. Bien qu'il n'ait jamais remporté la Ligue des champions, ses performances dans la compétition, en particulier avec la Juventus, ont été marquées par son leadership et sa résilience.

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Au poste d'arrière droit, nous choisissons Cafu, le lapin Duracell du football brésilien. Connu pour ses chevauchées infatigables et son courage à toute épreuve, il a brillé lors de la Ligue des champions 2007, lorsqu'il a aidé l'AC Milan à remporter son septième titre. Un joueur technique, physique et extrêmement complet.

Qui d'autre pourrait ancrer notre ligne arrière sinon Sergio Ramos, le sauveur du Real Madrid ? À la fois héros et méchant, le palmarès de Ramos parle de lui-même : d'innombrables prouesses défensives et un don pour les buts décisifs, comme celui égaliseur lors de la finale de 2014 contre l'Atletico.

Chaque équipe a besoin de son guerrier, et Carles Puyol en est le parfait exemple. Le roc aux cheveux longs du FC Barcelone était le cœur de la défense du club, montrant toujours l'exemple. Que ce soit ses tacles percutants ou cette remise de trophée emblématique à Éric Abidal en 2011, l'héritage de Puyol en Ligue des champions est inoubliable. Nous pensons qu'il est un excellent candidat pour porter le brassard de capitaine dans cette équipe et pour véhiculer son esprit de gladiateur.

Gracieux, élégant, mais absolument impassable, Paolo Maldini est le visage de la domination de l'AC Milan en Europe. Avec cinq titres de champion de Ligue des champions à son actif et un but record lors de la finale de 2005, il a marqué de sa patte la compétition. Il est considéré par beaucoup comme le meilleur défenseur de l'histoire, avec Franz Beckenbauer.

Toni Kroos est notre métronome au milieu de terrain.  Avec son sang-froid glacial, il a joué un rôle déterminant dans la dernière ère de domination du Real Madrid. De 2016 à 2018, il a calmement orchestré le jeu sous pression, sans jamais flancher.

On ne pouvait pas ne pas inclure Don Andrés Iniesta dans ce milieu de terrain. L'Espagnol, qui a soulevé le trophée à quatre reprises, est un artiste, un magicien. Au côté de Toni Kroos, ils distribueront le jeu à la perfection, et Iniesta pourra accélérer en faisant parler sa magie, s'il en ressent le besoin.

En tant que numéro 10, on choisit un autre magicien : Zinédine Zidane. Que ce soit avec la Juventus ou le Real Madrid, 'Zizou' a toujours brillé en Ligue des champions. Sa superbe volée lors de la finale de 2002 avec le Real Madrid est largement considérée comme l'un des plus beaux buts de l'histoire de la Ligue des champions. Avec Kroos et Iniesta, Zidane assurera la domination technique de notre milieu de terrain, et on attend de lui qu'il se projette et soit la rampe de lancement des trois de devant.

Vous saviez tous qu'il serait là, n'est-ce pas ? Génie absolu, l'Argentin a soulevé quatre fois la Ligue des champions, et est le deuxième meilleur buteur de l'histoire de la compétition derrière CR7. Dans notre équipe, il aura deux rôles : créer le déséquilibre pour s'ouvrir des espaces, mais aussi servir ses coéquipiers pour les mettre dans les meilleures dispositions.

On ne va pas vous surprendre, Cristiano Ronaldo est l'icône ultime de la Ligue des champions, un homme qui a toujours répondu présent. Meilleur buteur de la compétition, il sera le buteur de cette équipe. Avec Modric, Kroos, Iniesta, Zidane et Messi, on ne doute pas qu'il sera bien servi.

Le talent et la créativité de Ronaldinho sont tels que même les fans du Real Madrid l'ont acclamé ! En 2006, le Brésilien a mené le Barça à sa première Ligue des champions depuis 14 ans. Le prodige sera un élément-clé de notre animation offensive, et aura comme mission de solliciter plusieurs défenseurs, pour ouvrir des poches d'espace dans la défense pour des joueurs comme Zidane ou Ronaldo. Mais, si on le prend, c'est aussi pour se régaler… car quel magicien.

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Bon, voilà pour les titulaires. Il est désormais l'heure de jeter un coup d'œil au banc, avec certains joueurs qui auraient presque mérité d'être titulaires.

Casillas est un pilier de la Ligue des champions. Capitaine du Real Madrid lors de la Décima, il peut légitimement prétendre au statut de meilleur gardien de but de la compétition. Toutefois, nous avons dû prendre des décisions et nous avons préféré Buffon.

Connu pour son pied gauche foudroyant et ses courses infinies, Roberto Carlos a été un élément clé du succès du Real Madrid en Ligue des champions au début des années 2000. En tant que super-sub, il apportera son énergie et sa vitesse sur le côté, pour apporter un supplément d'âme en fin de match.

Maître du tiki-taka, Xavi a orchestré le milieu de terrain de Barcelone sous les ordres de Pep Guardiola. Le milieu espagnol pourra rentrer pour calmer ou accélérer le tempo de la partition de l'équipe, en fonction des besoins de celle-ci.

Ballon d'Or, Kaká a été le grand artisan du sacre de l'AC Milan en 2007, inscrivant 10 buts dans la compétition cette saison-là. Il était l'un des joueurs les plus doués et polyvalents de son époque et pouvait renforcer à la fois le milieu de terrain et les postes offensifs, selon le déroulement du match.

Un homme pour les grandes occasions. Si CR7 ou Messi ne sont pas au top, Bale fera certainement le travail. Sa retournée lors de la finale de 2018 reste l'un des moments les plus emblématiques de l'histoire de la Ligue des champions. Il est difficile de l'exclure de la conversation lorsqu'il s'agit de la Ligue des champions.

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