Margaret Court : la reine controversée de l'Open d'Australie

L'une des plus grandes
Une domination sans partage
Des timings parfaits
Margaret Court au sommet
24 Grands Chelems, un record
11 fois championne chez elle
Sept fois la reine d'Australie d'affilée
60 victoires, pour 3 défaites
Des grandes victoires
Une foi et des convictions fortes
« Dieu a exprimé clairement ses sentiments »
Des engagements politiques forts
Problème avec les lesbiennes
Batailles avec B. J. King
Rod Laver plutôt que Margaret Court
L'une des plus grandes

À l'ère moderne, les amateurs de tennis considèrent Serena Williams comme la plus grande joueuse de tennis de tous les temps, mais avant elle, il y avait l'Australienne Margaret Court.

Une domination sans partage

La magicienne du tennis australien a dominé le sport dans les années 1960 et 1970, lorsque le tennis australien était en avance sur la plupart des autres pays.

Des timings parfaits

C'était une époque où l'Australie bénéficiait d'un climat et d'installations parfaites, et où tout le monde pouvait accéder à ce sport, à une époque où les systèmes de classes étaient un problème dans d'autres pays.

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Margaret Court au sommet

Même à l'époque où les joueurs de tennis australiens étaient au sommet, personne n'aurait pensé que le pays aurait produit une championne comme Margaret Court.

24 Grands Chelems, un record

De la fin de son adolescence à la mi-trentaine, en passant par de multiples retraites et la naissance de ses enfants, Court a acquis une armoire à trophées sans pareille, remportant un nombre stupéfiant de 24 titres du Grand Chelem.

11 fois championne chez elle

Malgré tous ses succès, le tournoi qu'elle a le plus dominé est l'Open d'Australie, qu'elle a remporté onze fois, un record !

Sept fois la reine d'Australie d'affilée

Après avoir remporté son premier Open d'Australie à l'âge de 17 ans, en 1960, Court a connu une ascension fulgurante, remportant sept Open d'Australie d'affilée, prouvant ainsi sa valeur en tant que reine du tennis.

60 victoires, pour 3 défaites
Fait remarquable, à l'Open d'Australie, Court affiche un bilan de 60 victoires et 3 défaites, dont deux finales sur les 14 qu'elle a disputées.
Des grandes victoires

Lors de ses onze victoires au Grand Chelem australien, Court a battu sa part de joueuses d'élite, obtenant des victoires contre Billie Jean King, Evonne Goolagong Cawley, Kerry Melville Reid et Maria Bueno.

Une foi et des convictions fortes

Court était la joueuse la plus forte du monde dans les années 1970, mais sa foi et ses convictions ont provoqué une tempête parmi les fans et les médias, et le Kooyong Tennis Club a retiré son cadre de la "Galerie des stars mondiales".

« Dieu a exprimé clairement ses sentiments »

Selon le site theguardian.com, Margaret Court a déclaré : "Je crois implicitement en ce que la Bible me dit, je ne choisis pas d'être populaire. Dieu a exprimé clairement ses sentiments, et ce sont aussi les miens".

Des engagements politiques forts

Court a suscité la controverse en 1970 en faisant l'éloge de l'Afrique du Sud pour sa politique d'apartheid, en déclarant : "Les Sud-Africains sont mieux organisés que n'importe quel autre pays, en particulier l'Amérique".

Problème avec les lesbiennes

En 1990, Court a exprimé son sentiment que "les lesbiennes ruinaient le tennis" alors que Martina Navratilova dominait ce sport.

"C'est très triste pour les enfants d'être exposés à l'homosexualité"

Court a déclaré : "C'est une grande joueuse, mais j'aimerais qu'il y ait quelqu'un au sommet que les jeunes joueurs puissent admirer. C'est très triste pour les enfants d'être exposés à l'homosexualité".

Batailles avec B. J. King

Court a eu des désaccords et des batailles avec Billie Jean King sur le court et en dehors, ayant un débat sur le féminisme et sur l'avortement.

Rod Laver plutôt que Margaret Court
Pour ses performances sur le terrain, Court aurait mérité que le Center Court de Melbourne Park porte son nom, mais en raison de sa position controversée sur un certain nombre de questions sensibles, on l'a baptisé du nom de Rod Laver.

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