Le meilleur XI de l'histoire de la Ligue 1
Dans son histoire, la Ligue a vu passer les plus grands joueurs de tous les temps. Du grand Saint-Étienne au PSG du QSI, en passant par le septuplé lyonnais : voici le meilleur XI de l'histoire de la Ligue 1, en se basant sur le palmarès, les statistiques et l'influence.
Toutes les données viennent de Transfermarkt.
Gardien emblématique de l’Olympique Lyonnais des années 2000, Grégory Coupet. En 11 ans avec les Gones, le gardien a disputé plus de 500 matchs, avec un palmarès fou : sept Ligues 1, une Coupe de la Ligue et une Coupe de France. Excellent sur sa ligne, il a également été sélectionné plus de 30 fois avec les Bleus.
En cinq ans au Paris Saint-Germain, Maxwell a tout gagné en France : 15 titres, dont quatre Ligues 1. Le Brésilien a toujours été impeccable sur son côté gauche et faisait partie des joueurs les plus fiables à son poste. Un joueur de classe mondiale, tout simplement.
Capitaine du PSG des années 2010, Thiago Silva fait désormais partie des légendes du club parisien. Durant huit ans, le Brésilien a fait parler sa classe en Ligue 1. Sa qualité technique au-dessus du lot et sa sérénité à toute épreuve ont mené le PSG à 23 titres, dont sept Ligues 1.
Si Marquinhos aurait également pu faire partie de ce XI, il ne faut pas oublier qui était Cris. Le Brésilien, surnommé “le policier” en raison de son physique impressionnant, était un défenseur terrifiant, tant pour son autorité que par sa capacité à marquer (27 buts en huit saisons). Il remporte quatre Ligues 1 avec l’Olympique Lyonnais, en huit ans au club.
Pendant toute sa carrière, Manuel Amoros aura joué en Ligue. Seize ans lors desquels le latéral français a montré une régularité remarquable, à Monaco, Marseille puis Lyon. Quintuple champion de France, Amoros était aussi polyvalent qu’offensif, un joueur capable de tout faire sur le terrain. Il est également présent lors de la victoire de l’OM en Ligue des champions, en 1993.
Capitaine dans l’âme, il a marqué ses débuts en Ligue 1 avec Nantes et Marseille, où il a remporté la Ligue des champions en 1993, et deux championnats de France. Travailleur infatigable et excellent dans la récupération, Deschamps était le moteur de son équipe, tout en étant son capitaine. DD est resté neuf ans en Ligue 1, mais a marqué de son empreinte le championnat de France.
Il est, sans aucun doute, le meilleur joueur de l’histoire de la Ligue 1. Meilleur tireur de coup-franc de l’histoire, l’héritage de Juninho ne se résume pas qu’aux coups de pieds arrêtés. Le Brésilien était un leader, tant sur le terrain qu’en dehors. Il est le visage du grand OL, vainqueur de sept Ligues 1 consécutives.
Avant de partir à la Juventus et de remporter trois Ballons d’Or, Michel Platini a fait ses classes en Ligue 1, avec Nancy et Saint-Etienne. Le numéro 10 est resté neuf ans en Ligue 1. Meilleur buteur de l’histoire de Nancy (127 buts), il remporte la Coupe de France avec les Lorrains en 1978, ainsi qu’un championnat de France avec Saint-Étienne en 1981.
118 matchs de Ligue 1, 82 buts et 50 passes décisives : Neymar Jr. a marché sur le championnat de France. Si le passage du Brésilien est controversé, dû à de nombreuses blessures, Neymar a fait passer la Ligue 1 dans une autre dimension. Quintuple champion de France, il a changé l’histoire du championnat, en devenant la première superstar mondiale à signer en Ligue 1.
“Arrivé comme un roi, reparti comme une légende” : Zlatan Ibrahimović a parfaitement résumé son passage au PSG. Premier visage de QSI, le Suédois a terrorisé les défenses de Ligue 1, avec 113 buts et 44 passes décisives en 122 matchs. Mais plus que son apport sur le terrain, il aura été le visage de la Ligue 1 pendant cinq ans, jusqu’à rentrer dans le dictionnaire.
Meilleur buteur de l’histoire du PSG, Kylian Mbappé est déjà une légende de Ligue 1. Le natif de Bondy a été désigné meilleur joueur du championnat à cinq reprises, consécutivement, de 2019 à 2024. Avec Monaco ou le PSG, il a atteint un niveau rarement vu dans le championnat. Ses stats en Ligue 1 ? 246 matchs, 191 buts et 74 passes décisives… Hallucinant.