15 faits surprenants sur Thierry Henry que vous ignoriez peut-être

Légende de l'équipe de France et d'Arsenal, Thierry Henry est une personnalité à part, avec des anecdotes exceptionnelles. Voici 15 choses que vous ne saviez pas sur le meilleur buteur des Gunners !

Si vous vous demandez pourquoi Thierry Henry a joué au New York Red Bulls, la réponse est simple : il adore cette ville. Fasciné par la mégalopole américaine depuis son enfance, son père lui a offert un pull des Giants de New York, équipe mythique de la NFL, quand il était petit. Au cours de sa carrière, il s'y est rendu plusieurs fois, dès qu'il le pouvait, selon Le Figaro.

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La relation de Thierry Henry avec son père est assez particulière. "La première fois que mon père m'a pris dans ses bras, ce qu'il a dit, c'est : 'Ce bébé sera un joueur de football incroyable'. Et il m'a reposé", a-t-il raconté. "Vous pouvez imaginer ce qui arrive ensuite. J'étais programmé pour réussir. Peu importe ce qu'il se passait. Il m'a mis sur un terrain à 5-6 ans, et à partir de là, c'était une mission. Pour accomplir son rêve, lui faire plaisir. Je ne sais pas à quel point j'aimais jouer au foot, mais je sais que je ne détestais pas ça. En revanche, ce n'était absolument pas mon choix."

Bien qu'Arsène Wenger ait toujours été strict sur le régime de ses joueurs, Thierry Henry a toujours eu un petit péché mignon : les bonbons. Et pas n'importe lesquels, les Jelly Babies, rapporte Le Soir.

Dans une interview accordée au journal The Guardian en 2014, Thierry Henry a expliqué que son geste préféré en football n'était pas forcément un dribble ou une manière de marquer… mais la dernière passe. "La plus belle chose dans le football, c’est de faire une passe alors que tu es en position de marquer. Tu sais que tu es capable de la mettre au fond, mais tu décides de la donner. Et tu vois le regard de ton partenaire qui s’illumine ! Tu sais qu’il sait… tout le monde sait."

Le 9 janvier 2012, cinq ans après son départ d'Arsenal pour le FC Barcelone, Thierry Henry retrouve les Gunners pour un prêt de deux mois. Pour son retour, le Français inscrit un but, aujourd'hui légendaire, contre Leeds. "Ce fut le premier but de ma carrière que j’inscrivais en tant que fan ! Je n’étais pas censé revenir à Arsenal et je suis revenu. Je n’étais pas censé jouer, et j’ai joué. Je n’étais pas censé marquer et j’ai marqué. C’était tellement d’émotions. La technique, le score, rien n’était plus important ce jour-là que ce que j’ai ressenti à ce moment précis", a-t-il confié.

Dans une interview accordée à Canal+, Thierry Henry a raconté le jour où il a marqué les six buts de son équipe. Une fête ? Tout le contraire : "Viry-Châtillon/Sucy-en-Brie. Coup d'envoi : 14 heures. On gagne 6-0, et je mets les six buts. De Viry-Châtillon à Orsay où j'habitais, mon père m'a sorti toutes les erreurs que j'avais faites dans le match. S'il m'a conditionné ?!? T'imagines !"

En 1999, 'Titi' apparaît dans une des séries préférées des Français : "H". Dans l'épisode 19 de la saison 1 de H, diffusée sur Canal +, il joue son propre rôle de footballeur de l'équipe de France, qui se rend au fameux hôpital.

En 2010, l'équipe de France s'est humiliée devant le monde entier avec l'affaire de Knysa. Toutefois, avant cet épisode, Thierry Henry aurait déjà dit ses quatre vérités à Raymond Domenech, selon Le Parisien. Le buteur aurait pris la parole et affirmé : "Cela fait douze ans que je suis en équipe de France, jamais, je n'ai été dans cette situation. On ne sait pas comment jouer, où se situer, comment s'organiser. On ne sait pas quoi faire. On n'a aucun style, aucune idée directrice, aucune identité. Ça ne va pas."

En 1997, Thierry Henry vient de boucler une saison exceptionnelle avec l'AS Monaco. À 20 ans seulement, il est nommé meilleur espoir de Ligue 1 et a mené les Monégasques au titre de champion de France. Des performances qui intéressent le Real Madrid, avec qui il accepte de signer un pré-contrat. Sauf que l’accord est réalisé dans le dos du club monégasque et la Principauté prévient la FIFA, qui menace de suspension le joueur. Finalement, Henry reste au club, et s'en sort avec une simple amende.

Meilleur buteur de l'histoire d'Arsenal, Thierry Henry reçoit, en 2011, le plus grand des honneurs. En effet, cette année-là, une statue en bronze est érigée, à son image, aux abords du stade mythique des Gunners. Le Français réagira avec une grande humilité, en déclarant "Les statues, c'est pour les héros, et je n'en suis pas un", rapporte Le Figaro.

C'est un rendez-vous qui a fait couler de l'encre. Après le scandale de Knysa en 2010, l'équipe de France est la honte de toute la nation. Le président, Nicolas Sarkozy, décide alors de convoquer un de ses membres à l'Élysée : Thierry Henry… et seulement lui. Une rencontre qui n'a pas plu au public français, et dont on ne connaît toujours pas les secrets.

Thierry Henry et Tony Parker. Ces deux légendes du sport français ont de nombreux points commun, ce n'est donc pas une surprise si les deux hommes s'entendent si bien. Dans une interview à L'Équipe, 'Titi' a expliqué : "On a la même vision sur le sport, sur la vie, on s'est toujours bien entendus. Chez lui, je me sens comme chez moi et inversement. On aura plus de temps pour se voir après la fin de nos carrières. Et nos fils grandiront ensemble, ça, c'est sûr."

Lors de la saison 2003-2004, Thierry Henry subtilise le ballon à Danny Mills, défenseur de Middlesbrough, avant de lui infliger un petit-pont redoutable. Un geste resté gravé dans la mémoire de l'Anglais, qui, selon Arseblog.com, lui aurait même adressé une lettre exprimant sa frustration et sa douleur.

En 2021, lors d’un entretien avec Canal+, Thierry Henry a partagé l’une de ses expériences au FC Barcelone. Lors d’un match contre Osasuna, Guardiola avait donné pour consigne de privilégier le jeu court. Pourtant, un joueur n’a pas suivi cette directive : "Ce jour-là, Chygrinskiy a envoyé deux longues passes à Zlatan. Et elles étaient bonnes. Zlatan a failli se retrouver seul face au gardien. Mais Pep l’a sorti à la mi-temps… Parce qu’il n’avait pas respecté le schéma," raconte Henry.

En 2010, Thierry Henry rejoint les New York Red Bulls et voit les choses en grand pour célébrer son arrivée. D’après Le Figaro, l’attaquant français s’est offert un somptueux triplex à Soho pour 14,85 millions de dollars, avec une vue panoramique à 360° sur la ville. Plutôt sympa, non ?

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