Davide Ancelotti : fils d'une légende du football et grand coach en devenir

La meilleure situation
Devenir l'un des meilleurs
Une expérience de joueur
Pas assez bon
Un autre métier
Un homme consciencieux
Sa carrière s'accélère
Une position délicate
Faire ses preuves
Sa pierre à l'édifice
Peu à peu, la progression
Des désaccords avec son père
Un fonctionnement génial
Le respect des valeurs
Peaufiner son niveau
La meilleure situation

Quoi de mieux pour devenir un coach de renom que d’avoir comme père l’un des meilleurs techniciens de l’histoire du football, à savoir Carlo Ancelotti ? C’est en tout cas le rêve de son fils, Davide.

 

Devenir l'un des meilleurs

Passionné par le football dès son plus jeune âge grâce à son père, Davide Ancelotti espère maintenant devenir un grand coach en apprenant des meilleurs, comme il l’a confié au journal L’Équipe.

 

Une expérience de joueur

Dans le quotidien sportif, le fils d’Ancelotti retrace son parcours, et parle d’abord de sa période en tant que joueur lorsqu’il avait entre 14 et 18 ans chez les jeunes de l’AC Milan, alors que son père dirigeait l’équipe première.

Pas assez bon

Malgré les quelques possibilités offertes par son père, Davide n’a jamais réussi à entamer une carrière professionnelle au niveau qu’il espérait, préférant se concentrer sur le rôle d’entraîneur.

 

Un autre métier

« Depuis le départ, le point de vue du coach m'intéresse plus que celui du joueur. J'ai toujours adoré la tactique, la communication », a déclaré Davide Ancelotti dans L’Équipe.

 

Un homme consciencieux

Il a alors arrêté le football pour étudier la physiologie et les méthodologies d’entraînement, dans le but de devenir un entraîneur aussi grand que son père, en gravant les échelons peu à peu.

 

Sa carrière s'accélère

En 2017, alors que son père entraîne le Bayern Munich, Davide voit l’adjoint du coach, Paul Clément, signer à Swansea, lui laissant le champ libre pour devenir le coach n°2. C’est alors que Carlo lui-même poussa son fils à prendre ce poste.

Une position délicate

Un poste pas forcément simple à gérer pour celui qui n’a à l’époque que 26 ans et doit alors gérer une équipe composée d’immenses stars, pour la plupart plus vieilles que lui.

 

Faire ses preuves

Malgré la difficulté, Davide Ancelotti a tenté de montrer les qualités dont il disposait afin d’éviter que l’on pense que sa place n’est due qu’à son nom et non à son niveau dans le domaine.

 

Sa pierre à l'édifice

Depuis que Carlo Ancelotti est revenu au Real Madrid, Davide essaye de prendre de plus en plus de place sur l’organisation de l’équipe, sur les entraînements, suggérant parfois des changements à son père.

 

Peu à peu, la progression

Prenant son rôle très à cœur, Davide Ancelotti dit ressentir que son travail paye, lorsqu’il essaye d’observer des petits détails avant les matchs pour les transmettre aux joueurs, qui le reproduiront sur le terrain ensuite.

Des désaccords avec son père

S’il aimerait succéder à son père, dont la carrière est sûrement l’une des plus belles de l’histoire du football, Davide Ancelotti avoue rarement être d’accord avec Carlo, avec qui il aime énormément débattre de ses idées.

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Un fonctionnement génial

Grâce à leur relation, Carlo et Davide Ancelotti ont trouvé le fonctionnement parfait lors des entraînements, organisés de manière à ce que le paternel puisse observer et venir glisser les bonnes paroles aux joueurs lors des pauses.

 

 

Le respect des valeurs

Avec ce nom, Davide va devoir faire ses preuves, et peut-être même dans des grands clubs, mais pour lui, ce n’est pas forcément compliqué. Il explique d’ailleurs que le Real Madrid est un assez grand club pour que les joueurs laissent leur ego de côté pour le bien du collectif.

Peaufiner son niveau

S’il a jusqu’en 2026, date de la fin de son contrat, pour continuer de façonner sa manière d’entraîner, Davide Ancelotti ne se fixe pas de date, lui qui apprécie d'apprendre chaque semaine aux côtés des meilleurs à son poste.

"Davide est prêt"

Pour lui, entraîner une équipe, c’est comme de « l’artisanat », ou « faire grandir un bonsaï », cela prend du temps, mais le résultat en vaut la chandelle. S’il estime avoir encore besoin de temps, son père, lui, assure : « Je considère que Davide est désormais capable d'être un numéro 1 ».

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