Les 'one-hit wonders' de la F1 : ces pilotes à fort potentiel qui n'ont jamais confirmé

Les 'one-hit wonders'
Jochen Mass - Grand Prix d'Espagne 1975
Une McLaren flambante
Un grand potentiel
Heikki Kovalainen
GP de Hongrie 2008
Transition Super GT
Pas assez bien ?
Jarno Trulli
Grand Prix de Monaco 2004
Perte de confiance
Olivier Panis
Conducteur clé
Grand Prix de Monaco 1996
Jambes cassées
Jean Alesi
Les difficultés de Ferrari
Déménagement Benetton
Les 'one-hit wonders'

Dans l'histoire de la Formule 1, seuls quelques pilotes réussissent à tirer leur épingle du jeu et à remporter des Grands Prix. Pour cela, il faut être régulier et sérieux : le talent ne suffit pas !

Jochen Mass - Grand Prix d'Espagne 1975

Jochen Mass était l'un de ces pilotes prometteurs qui faisaient figure de futur champion du monde. L'Allemand avait tout pour réussir et, avec sa McLaren, et même allé chercher une victoire de prestige sur le GP d'Espagne !

Une McLaren flambante

La McLaren de 1975 était l'une des meilleures voitures du paddock, la M23 se révélant être une bête de compétition. Emerson Fittipaldi, son coéquipier (champion du monde en titre), avait prouvé que l'écurie pouvait jouer le titre cette année-là.

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Un grand potentiel

"Alors que Fittipaldi a immédiatement mis en évidence le potentiel de la McLaren en remportant la manche d'ouverture de la saison en Argentine, Maas a commencé fort avant de s'émousser", rapporte Planet F1. Malheureusement, Maas va peu à peu décliner et, en 1977, va quitter McLaren pour rejoindre ATS Racing Team : le début de la fin.

Heikki Kovalainen

Le pilote finlandais a été l'un des meilleurs pilotes des catégories juniors (Fortec Motorsport), où il a terminé 3ᵉ en Formule 3 (2002), avant de finir deuxième des GP2 Series derrière Rosberg en 2005. Kovalainen a ensuite rejoint Renault en 2007.

GP de Hongrie 2008

Très en vue lors de ses débuts, il prend une magnifique deuxième place au Japon, en défendant ardemment ses positions face à Raikkonen jusqu'au tout dernier tour, procurant des points importants à son équipe. C'est en 2008 qu'il frappe un grand coup avec McLaren en s'offrant le Grand Prix de Hongrie 2008 après la crevaison de Lewis Hamilton et la casse moteur de Felipe Massa.

Transition Super GT

Sa carrière en F1 s'est terminée avec des équipes de second plan telles que Team Lotus et Caterham F1 Team, cependant, le pilote finlandais a continué à concourir en Super GT, où il est devenu champion en 2016.

Pas assez bien ?

Kovalainen avait tous les ingrédients nécessaires pour devenir champion du monde, mais il a prouvé qu'il n'avait pas "le courage de réussir en F1", selon Planet F1.

Jarno Trulli

Jarno Trulli était un autre espoir de la Formule 1, considéré comme l'un des meilleurs pilotes de qualification du paddock. Associé au jeune Fernando Alonso, il a prouvé qu'il était capable de rivaliser avec les meilleurs.

Grand Prix de Monaco 2004

Le pilote italien a remporté une victoire remarquable à Monaco en 2004, mais sa carrière s'est arrêtée en raison de problèmes internes à l'équipe. Après avoir été renvoyé de Renault en 2005, il a rejoint Toyota, où il a constamment lutté, sans résultat probant.

 

Perte de confiance

Malgré ses bons résultats en qualifications, les courses de Trulli n'ont pas été à la hauteur des attentes de son équipe, manquant de régularité et d'audace sur l'asphalte.

Olivier Panis

Olivier Panis s'est forgé une solide réputation en Formule Renault et en Formule 3000, en décrochant un baquet chez Ligier en 1994. Lors de sa première saison, il termine 2ᵉ du Grand Prix d'Allemagne.

Conducteur clé

Panis s'est révélé être un pilote clé pour Ligier, remportant cinq points et une 2ᵉ place à Adélaïde, ce qui a contribué à la 5ᵉ place de son écurie au championnat des constructeurs.

Grand Prix de Monaco 1996

Le 'highlight' de la carrière du Français est indéniablement à Monaco en 1996. Après être parti de la 14ᵉ place, le pilote français a terminé premier, grâce à des dépassements audacieux et une stratégie brillante : un exploit retentissant.

Jambes cassées

Malheureusement, un terrible accident au Canada en 1997 lui a brisé les deux jambes et a fait basculer sa carrière. Il a ensuite couru pour BAR et Toyota sans succès notable et a pris sa retraite en 2006.

Jean Alesi

Jean Alesi était une autre star prometteuse de la F1 qui a fait des débuts remarquables au cours de la saison 1989. Le pilote franco-italien n'a pas hésité à se lancer avec des stratégies agressives, qui ont payé avec une deuxième place derrière Ayrton Senna au Grand Prix des États-Unis de 1990.

Les difficultés de Ferrari

Alesi rejoint ensuite Ferrari de 1991 à 1995, une période qui a coïncidé avec des problèmes internes dans l'équipe et un "manque de rythme" des voitures, selon Planet F1. Malgré quelques éclairs de génie et des podiums, il n'a pas remporté de victoire avant 1995.

Déménagement Benetton

Alesi rejoint finalement Renault Benneton en 1996 après que Ferrari a officialisé le recrutement de Michael Schumacher. Sa carrière décline, bien qu'il monte régulièrement sur le podium, mais une dispute avec le patron de l'équipe, Flavio Briatore, le met sur la touche. Au cours de ses dernières années en F1, Alesi rejoint Sauber (1998) puis Prost (2000), marquant ainsi sa fin en F1.

 

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